o maître

Dieu de ce forum qui puni sévèrement ceu qui par un curieu asard pouraient de temps a otre faire queques fotes .... je te suis gré de bien vouloir faire de ce forum un lieux ou reigne la clase de l'acriture et je me done a jamai pour objectif de te doner du travaille .... et ce surement sans le faire exprè come maintenan....

Dieu de ce forum, qui punit sévèrement ceux qui, par un curieux hasard pourraient de temps à autre commettre quelques fautes, je te sais gré de bien vouloir faire de ce forum un lieu où règne la classe de l'écriture et je me donne à jamais pour objectif de suivre ta voie et de te fournir le moins de travail possible... et ce, de plein gré, comme maintenant...

On m'appelle? Merci, mortelle, pour cette touchante mais néanmoins misérable ode à mon égard. Continue et tu sauras peut-être attirer mon attention.

Oserais-tu vil manant porter ainsi atteinte à la chef incontesté non pas de ces élucubrations informatique, mais du fonctionnment de toute cette belle communauté.
Méfie toi omaître de l'orthographe ton manque d'attention et de respect à mon égard pourrait- être sévèrement puni.

Voilà petit scarabé la définition du mot ODE:
Dans la littérature grecque, une ode, du grec ωδή (chant), est un poème lyrique en stances, accompagné de musique. Par extension, une ode est un poème célébrant un personnage ou événement: un vainqueur des jeux Olympiques par exemple. C'est un genre élevé, l'équivalent poétique de l'épopée.

Horace, poète latin, a également pratiqué ce genre, sur un mode mineur (poèmes d'inspiration basse)

Ronsard, appliquant à la lettre le programme fixé par la Pléïade dans la défense et illustration de la langue française, a traduit/adapté Pindare et Horace dans ses Odes.

Ce genre a ensuite été illustré par Malherbe, puis par Victor Hugo dans ses Odes et Ballades. Au début du XXe siècle, on assiste a un renouveau du genre sous la plume de Claudel, dans Cinq Grandes Odes, livre qui a ouvert la voie à la poésie moderne.

Je n'aurai pas mieux dit...